REFLEJOS DEL JARDÍN de José Fernández Ríos.

REFLEJOS DEL JARDÍN de José Fernández Ríos. Parque Botánico y Orquidario.

REFLETS DU JARDIN (PAQUI MATEO SOTO – C1)

Cette belle peinture murale représente des palmiers et des bougainvilliers. C’est l’œuvre du génie hyperréaliste José Fernández Rios.

Le réalisme est réussi dans cette peinture. Les dimensions des plantes, l’endroit où elles ont été peintes, leurs teintes chaudes et leurs couleurs douces la font se fondre dans l’entourage. Plus on s’éloigne, plus les plantes se fondent dans l’environnement jusqu’à ce qu’elles semblent réelles.

Depuis sa création, j’ai adoré ce chef d’œuvre. Avant d’embellir la place avec de vraies plantes, ce peintre a amené la nature dans ce lieu. Chaque fois que je la vois, ça me fait sentir la beauté. Je ressens la certitude que le mélange du ciment et de la nature est possible, que l’homme peut construire des villes plus vertes.

Cela me fait sentir de l’espoir en l’humanité.

REFLETS DU JARDIN (ADRIANA BOBALIKOVA – B2.1)

Une peinture murale représentée dans sept bâtiments qui complètent le merveilleux environnement du Parc Botanique. Le créateur José Fernandéz Rios s’est inspiré de la flore andalouse indigène et si typique des espaces verts d’Estepona pour dessiner les 4200m2 d’une œuvre, merveilleuse qui ne cesse d’avoir un impact chaque fois que l’on passe devant elle.

Cette œuvre d’art hyper-réaliste est une peinture murale unique au niveau européen, dans laquelle l’artiste ne refléte qu’une extension de cet espace vert sur la façade de sept bâtiments. Et c’est l’une des œuvres les plus appréciées de la Route murale d’Estepona. Le peintre a réalisé un grand trompe l’œil visuel avec des détails comme un balcon andalou qui (à première vue) semble réel, où l’on peut voir des bougainvilliers, des palmiers et des pots de géranium, les derniers qui se distinguent par leur ajout qui reflètent l’attrait icône de la ville pour sa décoration dans toute la vieille ville.

L’intention du peintre est que les détails semblent réels et que ce qui est capturé sur le mur soit confondu avec les plantes du Parc Botanique et les terrasses des maisons voisines. Par ailleurs, dans cette œuvre, la peinture se mèle a la littérature du poète local José Miguel Molero. Ce qui me fascine, c’est que le créateur de cette œuvre a trouvé l’équilibre entre la perfection de son travail et la vivacité du sentiment qu’il transmet à son image.