6 SEGUNDOS DE OSCURIDAD de Ana Torralba.

6 SEGUNDOS DE OSCURIDAD de Ana Torralba “Anula Mixtura”. Edf. Vista África.

SIX SECONDES D’OBSCURITÉ (MARGA GERMADE RODRÍGUEZ- 3º)

Il a été créé par la peintre Ana Torralba. J’ai choisi ce mural parce qu’il me rappelle les histoires que mon grand-père, qui était marin, me racontait quand j’étais petite. C’est une peinture très colorée et gaie grâce à la couleur rouge du phare et le bleu du ciel.

“Six secondes” c’est le temps que la mer est plongée dans l’obscurité à cause du mouvement du phare.

Dans ce mural, nous pouvons observer l’image d’un phare en rouge et blanc qui est très haut avec un fond bleu. D’abord, il y a un chemin qui arrive à l’entrée du phare, une petite route pleine de hautes vagues. Nous pouvons voir aussi un ciel clair et tranquille. En regardant ce mural, on pourrait dire que les vagues sont en mouvement.

SIX SECONDES (JOSEFINA RUIZ RUIZ- 5º)

Son peintre Ana Torralba, connue aussi comme AnulaMixtura, a travaillé pendant un mois pour pouvoir finir cette peinture murale. C’est le numéro 34 réalisée dans la ville et inaugurée en octobre 2016. Selon l’artiste le titre de l’œuvre est très marin car 6 secondes, est le laps de temps pendant lequel la mer reste dans l’obscurité jusqu’au moment où la lumière du phare l’illumine de nouveau.

Sur le mur d’un bâtiment, nous pouvons voir une immense peinture de 30 mètres de haut et 420 m2 de surface.  Elle représente un phare battu par les vagues. Les couleurs sont très intenses et font que le remarquable rouge et blanc du phare et le bleu de la mer, attirent l’attention de très loin.

Au premier plan nous voyons l’allée d’accès au phare mouillée par les vagues et pleine de flaques d’eau. Au deuxième plan on peut voir les immenses vagues aux crêtes blanches qui s’abattent contre les murs du phare. Nous apprécions également quelques mouettes qui survolent la mer. En arrière plan se trouve le phare au milieu du ciel bleu.

La peinture transmet une sensation de force et de résistance dans le temps. Les vagues couronnées d’écume blanche frappent violement les murs du phare et semblent vouloir l’abattre. En contraste, la sérénité du ciel bleu limpide vers lequel le phare se dresse comme un géant  imperturbable, qui regarde à ses pieds comment les mouettes jouent  insolentes avec  les vagues.

En regardant cette peinture gigantesque nous pouvons presque sentir les gouttes d’eau sur nos joues et avoir la sensation que les vagues vont nous tomber dessus.

À mon avis, le peintre a voulu mettre en valeur le côté marin de notre ville à travers cette impressionnante peinture murale et rendre hommage à tous les gens de la mer.

SIX SECONDES (PAQUI CABEZA CRUCES- 4º)

Cette œuvre appartient à une route de fresques qu’on a fait peindre dans la ville pour exposer l’art urbain et en tant que revendications du tourisme culturel, de façon qu’Estepona est devenu l’un des villages les plus attrayant de la Côte de Málaga.

L’œuvre a été créé par les par l’artiste Anula Mixtura vers le 2016, elle a essayé de donner un style naïf et pop à l’œuvre et a utilisé des couleurs vivants afin qu’y soit aperçu de loin. Il a 30 mètres de haut et 420 mètres carrés de surface total.

L’artiste a utilisé comme je l’ai déjà dit, des couleurs vivants et des tonalités claires lesquels étonnent avec le titre du graffiti. La fresque représente un grand phare qui occupe presque la totalité du mur, entouré pour une mer agitée avec des grandes vagues qui se heurtent avec lui.

L’objet principal c’est le phare évidemment, qui reste immobile dans la nuit profonde et la mer agité. Selon l’artiste ça évoque le temps que la mer est en ténèbres jusqu’au le phare tourné d’autre fois et éclaire le chemin au port.

Ce portion du temps c’est selon 6 secondes, mais peut-être une éternité pour les marins qui attendent la lumière, étant donné qu’ils besoin d’arriver chez eux.

J’ai élu c’est graffiti car il m’a touché, pour son splendeur, pour les couleurs vivants et surtout pour ce qu’il représente à ma vie. Selon moi toujours il y a un phare qui va éclairer après les 6 secondes des ténèbres. On n’a plus qu’à attendre.